writchor(s) 3.0
17.1.08
updating silence

pieces of krpr :strates d’air pendant qu’une usure étouffée déchaîne. les implosions spacieuses. ici et sortes de nos existences juste ‘abjections cotonneuses. sans la quincaillerie d’un trousseau se fagotent. on se fixe un sample qu’on infâme tic tac, vite vintage, touche-toi et coule. en fait, ce sont les trottoirs qui ont changé, pas mes pas et ce qu’ils portent.
comment certains se facilitaient le crachat, je ne sais plus. il existera toujours des gouttières, quelle qu’architecture, des percées même pour le cachet des ruelles pluvieuses.

00:43
6.1.08
mute

les yeux biaisés – outre bactéries, par des lignes d’erreurs, la récurrence des recommencements en un référentiel néfaste. penser à libérer le courrier.

23:30
9.12.07
exoxe

superposition suis une supposition.
position surprenante parfois surplombante comme neige. part fictionnelle, ténèbres, part.                    limpide, puis lèche.
prégnance de deux schémas, dont fictionnel : ce qui n’est pas filtré puis réappliqué/convolué sur/avec. l’identification des conditions aux limites permettrait la caractérisation des deux. puis l’extraction de l’un, chronologicité de leur déroulements, soulagement d’une vie surchargée d’une autre, modulo ce déPhi flou. schéma comme parasite, capteraient mes caméras au niveau de leur surface métallique (remember Düne’s skin while skineering, réplique fractale de la ville) des transmissions cohérentes (a priori) au point de s’agréger en granulosités qui auraient l’esthétique d’une existence, sa prétention selon logique à échelle temporelle. schéma dans le déplacement atomique alors que l’anarchique overall (morve on mouille on sperme s/ salive, jusqu’aux extrémités de la poussière), t’y embringues, quelque embrun :transformé(e) in n lyses labyrinthiques, comme des districts de raison dans cet enPher.

22:34
4.12.07
255, 255, 255 noise minus 1

points en nuée, cellules empoisonnées de part éparses et d’autre du faux plan universel. es bitume. ès reflet. nous sommes cut. quand tu dis continu tu te contre dis. nous sommes nés et mort-nués. un pixel et l’algo s’ébranle, ce matin le bruit blanc se paye le luxe d’une impureté. logique logiciel. joli ciel illogique, [jambes] et couleurs finies.

23:09
29.11.07
supposition suis une superposition.

02:15
4.11.07
à la 14ème désintégration j’ai décidé de me souvenir. comment j’étais arrivé là. comment je n’avais jamais traversé la plaine de la Chaulithe, m’étant directement agrégé au-delà, depuis _ les circonvolutions dans l’œil, en tourbillons, puis la transparence et mon corps-uscularité ailleurs. je me désintégrais en _A et par alluvions électrostatiques, je crépitais instantanément (?) dans des champs visuels abandonnés, aux environs de _B. il n’y avait personne pour m’accueillir ici.

à la 14ème désintégration, licqe filtrant-me, poussière pousse-neutrons & (paramé)Cie(s), le hangar les rats les inStabilités, all mixed up, everything: fucked up. perds ma peau, patience par pixels, en[tre] les murs, avecq ui partage univers, à me voir j’use rétines. le vampire d’abord se vampirise lui-même, veines à vif –le– cqoagulant par-dessus bord du référenCiel. le lab essaie de comprendre ce passage et sa permanence (path pattern) /

21:36
28.10.07
happiness in slavery / no happiness in between walls

cette ville est ce labyrinthe. since Babylone, ses jardins suspendus pour asservissements sous hypnose. la sortie est tacite, elle est au bout du boulevard. alors à quoi bon fuir, ce serait si facile. ces machines dans le ciel fabriquent donc des villes-prisons, de visions viles encodées dans la base de données des urbanité[politesse exagérée, de cette docilité des mégalopoles à l’esclavage-soft du siècle il n’y a qu’un pas]s carcérales.

dès lors je ne vis plus la ville du même œil. donniez-moi un cliché satellite et j’y dénombrais les conurbations comme autant de mélanomes sur la peau des territoires.

18:02
cqlusterLab loaded, at last.
fucking backslashes. my skeletons.
1 – cqlusternoise v1.2 currently
2 – cqaptures1999-? ...processing...

16:22
27.10.07
on aurait dit les murs                    de safran, mais la décoction chimique, vu la
ville morte, non, mort-née
un cerveau dans chaque pièce et cqlusteralysés on grillera une transcendance jamais atteinte
peut-on décemment espérer un facteur 1,2 ?

16:08
22.10.07
ces cqlusteralyses c’est un autre writchor(s) in the sky, le vrai, le seul, out of
ce sont les bytes épars d’un zippage d’affects, tord-cerveau, convolutés au crépuscule, dans le jaune qui mauve, poésie au couteau, émaciement de l’essentiel, essence du dire. la clé est le cœur, l’échine en etc, la vibration avec. il y a sûr ce mot sésame qui source les autres clés, le grain qui cristallise la soupe, l’univers guet-apens. un mot est l’égarement, deux mots la piste, le troisième l’once de méthode qui m’algorithme à l’envers vous, l’intérieur de mon visage que je ne vois pas plus.

21:52
30.9.07
la plage est en béton, il fait toujours jaune, ce soleil au nord que j’incompréhende. allons-y.

ça se syndrome comme cela, tu vois, par pelures successives tu parviens au bruit blanc, sous les os, le sable. tu vois par pleurs successifs comme ces plaques de chairs qui déconstruisent notre confort, ce navire de l’affreudisiaque routine, les couleurs pendues d’être ainsi pendulaires, les névroses en damoclès.

23:48
29.9.07
brut breacqable space

scan des états disponibles : angoisse glissement agonie, ce qu’ils utilisent, j’en ai pris pour. puis-je m’accrocher à cette vibration et fuir dans la traîne de sa perpétuation. puis-je puiser dans ce qui me sépare. puis-je fauter off paradigme. puis-je me perpétuer sans blâme. puis-je sauter over the G-gap. puis-je étendre cet oubli par-dessus mes erreurs. puis-je perdre mes pieds au lieu. puis-je,                    non,                     merci.

22:14
18.9.07
litanie for ad inf
piano te poe xplode tag pix map fps 3d poe
creepitements complètement détruire
piano tu

D É  T   R    U     I        R       E

cru elle                     m’a                      crue sèche de mes yeux

je te tue encore et tu me respires

00:38
16.9.07
j’émerge et les nuages horizontaux stratifient le ciel
tout est si jaune après le port

j’étais ailleurs, j’étais là, est-ce une fuite ?
a-t-on le droit de ne pas être fait pour le grand cirque
de glisser indéfiniment jusqu’ici quoi qu’il arrive, quoi qu’on tente ?
je fuyais là mais c’est maintenant l’ici et la dérive recommence
jamais nous ne serons
en phase
je suis déjà tellement incapable de coïncider avec moi-même

je suis sorti
dans cette ville je suis seul mais là-bas ne regardait-on pas à la périphérie des êtres
leurs doutes qui floutaient leurs silhouettes

les rues étaient si troubles

22:23
see also : writchor(s), skineering, invidation ii
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